Archive de l’étiquette mariage

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Comment réussir ses fiançailles et son mariage ?

Comment réussir ses fiançailles et son mariage ? Comment gérer la belle-famille ?

Les conseils de Tanguy, avec Docteur Love (Frère Paul-Adrien) !

Il a vécu une rupture amoureuse, des fiançailles de 2 ans et un mariage, il y a 5 mois.

Il vous donne plein de trucs et astuces pour réussir votre vie de couple, sa préparation au mariage, et même… le mariage, le fameux jour J !

En ce temps de Saint Valentin, vous pouvez vous aussi vous posez ces questions…

Et toi, des questions pour Frère-Paul Adrien (on transmettra) ou à nous poser directement ? Viens nous en parler par chat’ !

Pour aller plus loin :

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Bertrand & Julie, unis pour la vie

Bertrand et Julie ont d’abord habité ensemble, avant de se marier. Ils témoignent du chemin parcouru avant d’être unis pour la vie.

Bertrand : Nous nous sommes rencontrés pendant nos études supérieures. Assez vite, nous sommes sortis ensemble, et tout se passait bien.

Nous considérions que notre couple, c’est « sérieux ». Nos parents ont commencé à nous accueillir comme couple constitué. Nous participions aux fêtes de famille, et après nos études, nous nous sommes installés à deux en appartement. Nos familles nous posaient discrètement la question du mariage, mais nous éludions la question.

Julie : Après quelques mois de vie commune, notre couple a connu de grosses tensions. Je voulais « avancer » (nous marier et avoir des enfants) mais Bertrand n’est pas pressé. Il évitait de se positionner en se retranchant derrière l’idée qu’il n’était pas nécessaire d’être mariés pour s’aimer.

Bertrand : Je ressentais l’insistance de Julie comme du harcèlement… Notre couple se disputait de plus en plus. C’est alors que des amis nous ont conseillé de faire un week-end proposé à ceux qui se posent la question du mariage.

Si Julie accepte avec enthousiasme, de mon côté je m’y rends avec des pieds de plomb. Nous entendons un enseignement sur l’importance de « se décider ». je comprends tout à coup que mon « vrai « problème, c’est que je n’ai pas envie de me décider, car si j’aime Julie, j’ai eu le temps de découvrir qu’elle n’était pas aussi parfaite que ce que je pensais au début…

Julie : Après ce week-end, nous nous sommes fait aider par un thérapeute. Une fois nos difficultés analysées, nous avons réalisé qu’elles étaient « normales ». Grâce à cela, nous avons osé avancer, nous fiancer et enfin, nous marier.

Bertrand : Prendre cette décision de nous marier m’a permis de rentrer dans l’acceptation réelle et profonde de Julie. Je n’étais plus tiraillé par des questions du genre : « Je veux ou je ne veux pas ? ». Aujourd’hui, nous sommes très heureux !

Et toi, qu’en penses-tu ? Veux-tu être uni pour la vie ? Viens en parler avec nous par chat’ !


Source : Témoignage paru dans Il est vivant! n°294 – image d’illustration

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Faut-il cohabiter ou se marier ?

Cohabiter ou se marier ? Aujourd’hui, beaucoup de jeunes préfèrent la première solution, par peur de s’engager ou par… facilité.  Alors, que choisir ? Quelques clefs pour se décider.

Mariés ou non, nous avons tous le désir de privilégier la voie – et la joie – de l’amour. La question n’est pas tant de connaître les avantages et les inconvénients de la cohabitation ou du mariage mais de bien évaluer le cadre le plus propice à la croissance de notre amour. Aimer c’est se donner entièrement, sans retard, sans retour et sans restriction (règle des trois 3 « R »). L’amour est donc une aventure extraordinaire qui est faite pour rimer avec toujours. Les bonnes questions à se poser sont plutôt celles-ci :

    • Est-ce que je l’aime vraiment ?
    • Est-ce que je suis prêt à me donner entièrement, définitivement à lui (à elle) ?
    • Est-ce que nous pouvons construire un projet d’amour ensemble ?

Alors, cohabiter ou se marier ? Cela vaut la peine d’y réfléchir pour ne pas faire partie des déçus de la vie.

Souvent on cohabite sans l’avoir choisi, avec en plus la peur du divorce et celle de l’avenir incertain. Et puis, on a peur de perdre notre liberté ! Mais croyez-vous que l’amour, le vrai amour, irait à l’encontre de notre liberté ? Au contraire, il engage notre liberté tout entière… L’amour est fait pour grandir. Il ne supporte ni la tiédeur, ni le ronronnement. Il a besoin de temps pour s’affermir. L’amour est plus fort que la haine, le désespoir, la blessure, la peur… C’est pourquoi, si on lui demandait ce qu’il préfère, c’est le mariage. Le mariage est le choix d’un amour qui dure toujours.

Et le divorce ? Il n’est pas une fatalité. Un mariage bien préparé a peu de chances d’aboutir à une séparation. Choisir la cohabitation, c’est choisir un amour fragile. Aujourd’hui, certains pays proposent une forme de légalisation de la cohabitation (le PACS en France) pour donner une certaine sécurité juridique aux concubins (et aux couples homosexuels). Mais on est loin d’un véritable mariage tant sur le plan de l’union des personnes que sur le plan du statut légal et de la protection des enfants. Les historiens du droit rappellent d’ailleurs que le concubinage avait, en droit romain, un statut légal et des effets juridiques. Donc, rien de nouveau !

Le témoignage de Claire, 21 ans

J’étais folle amoureuse de mon copain, avec qui je cohabitais. Mais je vivais dans une peur constante : plus je me rendais compte que je m’attachais à lui et plus je souffrais de le voir s’installer dans la cohabitation. Il balayait mes propositions de mariage avec un sourire ironique : « Pourquoi faire ? » Je sentais bien que ce refus cachait l’ambiguïté de ses sentiments. J’ai rompu parce que je l’aimais trop. Je ne pouvais plus supporter de penser que si j’étais prête à me donner à fond, lui ne l’était pas. Je ne me sentais pas l’étoffe d’une héroïne capable de vouloir son bonheur tout en le laissant libre de me quitter à tout moment ! Actuellement, je suis malheureuse parce que je l’aime encore, mais être avec lui sans pouvoir envisager de construire notre vie à deux me rendait plus malheureuse encore…

Le témoignage d’Edwige

Je vivais dans l’angoisse. Au début, j’étais très fière que notre couple marche « sans papier ». Mais peu à peu s’est installé le doute. Quand nous nous disputions, j’avais peur que Patrick ne reste sur une image négative de moi, qu’il ne soit déçu et finisse par me quitter. Je vivais dans l’angoisse. Je n’osais pas être moi-même, mes défauts me semblaient de plus en plus énormes. Une incertitude planait quant à la survie de nos sentiments. J’ai finalement fait une grosse “déprime“ et on s’est quitté…

Et vous, qu’en pensez-vous ? Cohabitez-vous ou êtes-vous mariés ? Venez en parler avec nous par chat’ !

Pour aller plus loin :


Source : d’après un article d’Il est vivant, hors série juillet 2007, 50 questions sur la vie et l’amour.

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« Donne-moi une bonne raison de ne pas coucher avant le mariage ! » 

Coucher avant le mariage ? Aujourd’hui, prôner l’inverse est aller à contre-courant. Démontrons cependant par A + B à nos jeunes qu’il est toujours mieux, dans l’idéal, d’attendre d’être mariés. Comme nous  à leur âge, ils ont envie de croire au grand amour. Par Sophie Lutz(*).

J’ai posé la question à mon ado de 16 ans : « Pourquoi ne pas avoir de rapports sexuels avant le mariage ? » Réponse laconique : « Parce que ça se fait pas, c’est pas bien ». Moi : « Ce n’est pas un argument ! Il ne résistera pas longtemps quand tu seras amoureux ». J’entends intérieurement ma mère me dire : « n’en parle pas une fois, parles-en dix fois ». Effectivement, je me souviens être allé souvent lui demander de me réexpliquer, avoir fait l’avocat du diable pour vérifier que je pouvais croire ce qu’elle affirmait.

Coucher avant le mariage ? Pas facile pour des parents d’argumenter ! D’abord parce qu’aucun parent ne voudrait décourager par un discours inaccessible, ni enfermer un jeune dans des éventuels ratés. Et puis, quand soi-même, on n’a pas attendu le mariage, on ne se sent pas légitime. Ou même, on n’y croit pas vraiment.

Il y a la raison de foi, qui fait de la décision de la virginité jusqu’au mariage une question de foi. Le fait de croire que l’union de la chair valide la parole qui a été donnée, et qu’on ne peut séparer le verbe et la chair. « Le Verbe se fait chair. » Le Christ ne peut qu’être présent dans cette « « incarnation », qui dit quelque chose de l’amour qui est en Dieu. Très résumé.

Il y a la raison humaine, philosophique, de l’engagement. S’engager à moitié, est-ce vraiment s’engager ? L’amour humain n’est-il pas quelque chose d’assez grand pour mériter une promesse, qui dit ce qu’elle fait, et qui fait ce qu’elle dit. La personne que j’aime ne mérite-t-elle pas la sécurité d’un engagement à vie ?

Une question de plaisir ? Non. De bonheur.

Ces arguments s’entendent, s’ils s’accompagnent de réalisme. La virginité avant le mariage n’est pas l’ingrédient secret pour un premier rapport extraordinaire. Celui-ci est forcément maladroit, voire décevant sur le plan strict du plaisir. Ce qui rend beau ce moment, ce n’est pas d’abord la joie du corps, c’est la joie du cœur. Une joie « particulière », supplémentaire, quand ce premier rapport coïncide avec le mariage. Parce qu’alors, chacun offre à l’autre le bonheur d’avoir été choisi entièrement, et non pas « par morceaux » ou par « étapes ».

Une amie m’a confié qu’elle n’avait été convaincue ni par l’argument de foi, ni par l’argument de l’engagement, mais par le regard pétillant de sa mère disant : « Ceux qui n’attendent pas le mariage ne savent pas ce qu’ils ratent ! ». Ce qu’il est dommage de rater, ce n’est pas une extase physique, mais un bonheur « spécial ».

Et toi, qu’en penses-tu ? Faut-il attendre le mariage ? Viens en parler avec nous par chat’ !

Pour aller plus loin :


(*) Source : article pour Famille chrétienne, janvier 2014.