Archive de l’étiquette amoureux

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Saint Valentin : 5 raisons de lui dire « je t’aime » !

Répondez-nous franchement sur le chat’ : trouvez-vous facilement 5 raisons de lui dire « je t’aime » pour la Saint Valentin ?

La Saint Valentin est une excellent occasion de redire son amour à l’être aimé. Et pour cela, il faut trouver les mots. Voici une petite aide pour vous, vous pouvez même l’imprimer et faire le test en amoureux !

Vous l’aimez, c’est sûr, mais vous ne savez pas toujours pourquoi, ou plutôt, vous n’y réfléchissez plus. Pour sortir un peu de cette routine, nous vous proposons de vous asseoir 5 minutes et de réfléchir à cette question : mais au fond, pour quoi je l’aime ? Pourquoi je lui dis que je l’aime ?

C’est 5 raisons de lui dire je t’aime! sont importantes, même si elles peuvent varier au fil du temps, parce qu’elle verbalise la profondeur d’un amour, même naissant, ou plus ancré dans le temps et la vie.

Quelques idées… de raisons de lui dire je t’aime !

Il n’y a pas de mauvaises réponses, mais voici quelques idées – à moins bien sûr que vous préfériez d’abord faire le test en couple ! 😉

Je t’aime parce que…

  • Tu m’as donné des enfants extraordinaires et si différents
  • Tu es plein(e) de qualités comme…
  • Avec toi je peux parler pendant des heures
  • Quand tu es absent(e) ta présence me manque terriblement
  • J’aime ta façon de voir le monde, d’envisager l’avenir et la vie
  • Tu as une très belle voix que j’affectionne plus que tout au monde
  • Tu as le don pour….
  • Tu es beau/belle.

Et toi, alors, arrives-tu à trouver facilement 5 raisons de lui dire je t’aime ? Besoin d’aide ? Viens en parler avec nous sur le chat’ !

Pour aller plus loin :

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Mariés sur le tard… ils eurent beaucoup d’enfants

Ils se sont rencontrés en janvier 1979 lors d’une galette des rois. Elle avait 32 ans et, lui, 46. Un an et demi après, ils se marièrent et eurent cinq d’enfants. Un vrai conte de fées ?

La rencontre

Elle : Quand je l’ai rencontré, je n’ai pas eu le coup de foudre. Nous avons échangé sur le mode de la repartie. Rien de profond. Mais nous étions sur le même rythme rapide, incisif et gai. J’étais, à l’époque, comme insensibilisée par des souvenirs négatifs et, n’avais pas l’intention de changer de style de vie. Je me suffisais à moi-même. Je n’étais pas prête à faire confiance. Persuadée qu’il trouverait l’âme sœur parmi mes amies, je l’ai invité. Nous nous sommes revus, il avait des projets. Il était vivant. Son attitude chaleureuse et dynamique a réveillé en moi, petit à petit, des ressources affectives bien cachées. Pendant ce temps, je priais Notre-Dame de Bonne Délivrance pour savoir si je pouvais m’ouvrir à lui et pour demander des signes. Le signe le plus fort a été quand je lui ai demandé de venir prier le chapelet et que je l’ai vu arriver malgré un emploi du temps chargé.

Lui : Le groupe multinational américain pour lequel je travaillais m’absorbait beaucoup. Le décalage horaire dû aux relations quotidiennes avec des correspondants du continent américain interdisait les sorties de bureau avant une heure tardive. De fréquents voyages et nombre de mes activités me donnaient un sentiment de liberté plaisant et insouciant. Je n’imaginais pas supporter des contraintes en dehors de ma vie professionnelle. Une certaine aisance matérielle ne m’incitait pas à approfondir le sens même de ma vie. Mon baptême et l’éducation religieuse en famille et au collège ne m’avaient pas suffisamment marqué. La pratique des sacrements n’était plus une priorité dans ma vie. La rencontre s’est déroulée chez des amis communs. Les invités avaient un profil ordinaire à l’exception d’une jolie jeune fille à la répartie rapide, pertinente et inattendue. On ne pouvait rester indifférent !

La décision

Elle : Depuis quelques mois, l’amour m’avait envahie. J’étais impatiente de parler de projet de mariage. Je croyais qu’il voyait bien que tout mon être irradiait d’un oui silencieux. Mais pour combler mon attente, je continuais à voir mes amis, à voyager avec eux. C’est alors qu’il m’a posé la question que j’espérais. Nous étions devant le rocher de la Vierge à Biarritz.

Lui : J’ai décidé de m’engager vis-à-vis de cette jeune fille. L’engagement dans le sacrement de mariage me semblait simple, naturel et plein de sens.

Notre vie conjugale

Elle : Notre amour a été sauvé des désillusions et des épreuves douloureuses de deux manières. Nous avions pris la décision, dès le début, de prier ensemble tous les jours. Nous sommes passés des foyers de priants « adorateurs » de Montmartre à l’engagement dans une communauté catholique charismatique, la Communauté de l’Emmanuel. Ensuite, nous ne pouvions vivre en désaccord l’un avec l’autre. Avec des caractères forts et des convictions qui ont eu le temps de bien s’ancrer, la discorde peut rapidement s’amplifier. Nous n’arrêtions jamais le dialogue tant que nous n’étions pas tombés d’accord. Dans les blessures, nous finissions toujours par un pardon. La chose la plus grave, pour nous deux, aurait été de perdre l’estime et la confiance de l’autre.

Lui : Dieu avait mis sur ma route quelqu’un d’exceptionnel et je n’avais pas la moindre appréhension à l’idée de fonder une famille. Au bout de quelques mois, nous avons fait une retraite spirituelle au foyer de charité de Châteauneuf-de-Galaure. Je découvrais les journées silencieuses et apprenais à comprendre leur importance. Le Seigneur nous a comblés en nous donnant cinq magnifiques enfants. Nous avons toujours tout décidé ensemble. Nos différences de points de vue étaient un enrichissement du fait de leur complémentarité. Si la conversation venait à s’échauffer, en cas de désaccord, nous avions pris la décision de nous demander pardon. Cette habitude est devenue une règle dans la famille. Petit à petit, nous avons consacré de plus en  plus de temps en couple à la prière : c’est essentiel. En tant qu’homme, j’ai toujours de bonnes raisons de vaquer à des taches matérielles ou d’être au service de ma famille ou d’autrui. Une période de notre vie a été difficile à assumer : l’évolution de nos cinq enfants qui, à partir de l’adolescence, n’ont pas tous choisi les valeurs que nous leur avions données.

Depuis plus de 40 ans de mariage, mon épouse m’a beaucoup apporté, par ses qualités. Mais sans une vraie vie de prière en couple et le soutien constants d’amis chrétiens, il m’aurait été difficile de surmonter certaines difficultés.

Témoignage paru dans le numéro spécial « se marier tard » d’Il est vivant! en 2010 et actualisé.

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Trois questions que se posent les amoureux

Lorsqu’on est amoureux, on se pose beaucoup de questions, et c’est normal. Voici trois questions qui reviennent souvent.

1. Puis-je avoir confiance ?

La question de la confiance est l’un de plus importantes. En général, c’est assez évident, on serait prêt à partir avec son amoureux ou son amoureuse jusqu’au bout du monde, les yeux fermés ! Et tant mieux, c’est très bien comme ça, ne gâchons rien ! Mais il y arrive aussi qu’on doute de son ami(e), ce qui peut être le signe d’une relation fragile. Vous n’êtes peut-être pas vraiment amoureux (critère n°1) ou vous manquez de dialogue (critère n°2), ou tu ne l’acceptes pas totalement (critère n°3).

Vérifie tout cela dans votre comportement, vos préoccupations, vos convictions, vos exigences, et ce à quoi vous croyez ensemble. La vérité finit toujours par se dévoiler. S’il y a entourloupe, les masques finissent par tomber. Sauf si, au lieu d’étudier l’autre et d’écouter ta raison, tu te laisses aveugler par tes sentiments ou son baratin.

2. Faut-il partager la même foi ?

Si l’on est croyant, autant que possible ! Si l’on est pas croyant, au moins les mêmes valeurs. Sachant que la foi est la plus solide des fondations. En effet, pour grandir et durer, le couple doit se fonder sur la source de tout amour : Dieu, qui est amour, justement. Partager une même spiritualité, c’est le socle de l’harmonie conjugale, de la confiance mutuelle, et de la fidélité. Alors, réserve-toi pour celui ou celle qui partagera ta foi et ton idéal de vie. Une histoire, dans l’Evangile de Matthieu (chapitre 7 verset 24), est peut-être à méditer : celle de la maison bâtie sur le roc :

Celui qui entend les paroles que je dis là et les met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a construit sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé et se sont abattus sur cette maison ; la maison ne s’est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc.

3. Le mariage ? Plus tard, plus tard…

« Nous sommes très amoureux, mais le mariage n’est pas pour maintenant. »

Etre amoureux est normal, et même bon, mais attention : l’amour peut parfois pousser à la fusion, à devenir une seule chair. Et ne pas vouloir du mariage signifier qu’en réalité, tout est déjà consommé : alors à quoi bon ? Alors faites le point. N’avancez pas à l’aveuglette. Lorsqu’il fait sombre et qu’on est en terrain inconnu, on allume les phares. Ainsi en amour, si vous êtes de plus en plus attirés l’un vers l’autre. En oubliant peut-être que si on veut se donner totalement… c’est mieux aussi s’engager totalement.

Cela va trop vite ? N’hésitez pas à mettre un peu de distance quelque temps (par exemple en partant en famille en vacances !), tout en communiquant un peu, mais pas trop. Vous y verrez plus clair dans votre esprit et vos sentiments.  Est-ce que l’autre me manque vraiment ? Si, malgré un peu de distance, votre premier amour demeure, c’est qu’il mérite d’être bien étudié et pris au sérieux. Demandez-vous alors : sommes-nous faits l’un pour l’autre et pour toute la vie ? Pouvons-nous envisager une éventuelle union ? Si oui, pouvons-nous la préparer maintenant ? Pour tout cela, demandez conseil à des éducateurs sérieux.

Et toi, que penses-tu de ces trois questions ? Viens en parler avec nous par chat’!

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Quelle différence entre le sentiment amoureux et l’amour ?

Le sentiment amoureux est-il de l’amour ? Quelle est la différence entre les deux ? Comment ne pas confondre ?

Un sentiment amoureux peut naître rapidement. Cela est normal et ne doit en aucun cas être tourné en ridicule par les proches. Les sentiments amoureux seront ressentis de façon plus forte et plus fréquente une fois la puberté passée. On peut les retrouver à tout âge de la vie.

Ces sentiments saisissent la personne presque à son insu, sans quelle l’ait vraiment décidé. C’est un état passif, comme indique bien l’expression : « tomber amoureux ». On se sent attiré par l’autre. Cela peut nous submerger complètement. Ce sentiment est fluctuant, il va et il vient. On peut tomber amoureux de nombreuses fois, et même une fois marié. Le sentiment amoureux n’est ni bon ni mauvais : il est. Ce qui compte, c’est ce que l’on décide d’en faire. Lorsque l’on est marié, par exemple, il est important de couper court à tout sentiment amoureux que l’on éprouver pour une autre personne que celle avec qui on a choisi de passer notre vie, de ne pas entretenir ce sentiment et le laisser se développer, au risque de mettre en péril son couple. Pour cela éviter de rencontrer la personne qui est en la cause et chercher à préserver son couple et l’équilibre de ses enfants… quitte à passer plus de temps avec son conjoint et retomber amoureux de lui si nécessaire !

Aimer, c’est vouloir le bonheur de l’autre. Il s’agit d’un mouvement vers l’autre qui n’est plus du tout passif, mais qui est de l’ordre de la décision. Ce mouvement fait que je me détache de moi-même pour aller vers l’autre et vouloir son bonheur. Cela demande de faire l’effort de se décentrer de soi-même pour se préoccuper du bonheur de l’autre. Quand on aime vraiment, on est même prêt à faire des sacrifices pour l’autre. Par exemple, un passionné de foot renoncera par amour à regarder un match à la télé pour passer une soirée avec sa fiancée ou sa femme. Par amour, une femme déclinera une invitation chez une bonne amie pour rester avec son mari quand celui-ci est trop fatigué et ne souhaite pas sortir.

Ou encore, lorsqu’un couple discute d’un sujet sur lequel il y a un désaccord, il peut leur arriver de se disputer. Dans une conversation houleuse, des mots désagréables peuvent être échangés. L’homme et la femme ressentent pas de sentiment amoureux à ce moment là ! Mais si l’un ou l’autre décide de stopper cette discussion,  et va jusqu’à demander pardon pour les mots agressifs qu’il a dits à l’autre, il pose un acte de véritable amour.

Dans l’amour, il est important d’aller au-delà de la « que m’apporte cette personne » (à commencer par le sentiment amoureux) et de se demander : « que suis-je prêt à lui donner ? ». On ne pourra prendre la décision  de vouloir le bonheur de l’autre qu’en étant sûr de la personne, et donc en la connaissant bien. La connaissance de l’autre en profondeur est absolument essentielle à tout amour.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Confondez-vous le sentiment amoureux et l’amour ? Venez en parler avec nous par chat’ !

Pour aller plus loin :

Source : d’après le livre d’Inès de Franclieu, Amour et sexualité